Les Grottes de Soukoumba

Situées 30Km de Koutiala elles servaient de lieu de cachettes pour les populations en temps de guerre de nos jours on y trouve une source d’eau et des armes cachées.

Les Masques de Boura

Fête des masques du do, à l’occasion des funérailles d’un chef coutumier ou pour demander à Dieu une pluie abondante.

Danses et Folklores

La culture sera à l'honneur: ici les Korodugaw (danse des bouffons en milieu Miankas organisée pour célébrer la bonne récolte dans tous les villages.

Foire et Exposition Artisanale et Agricole

L’artisanat est en pleine expansion (teinture, de poteries, Bogolan etc...) aussi Koutiala est appelé capitale de l’Or Blanc (à cause de la culture du coton).

FESIKO vous accueille et vous dit "Aw Bissimilah"

A travers les différents établissements d'Hébergement, de Restauration et de loisir.

lundi 2 novembre 2015

Présentation du FESIKO

FESIKO (Festival International de Koutiala)

Initiatrice/Promotrice : Association Mali de Demain Récépissé 
N° 12-053/C-KLA du 30 Juillet 2012

Genre du Festival : Festival Culturel, Artistique, Artisanal, agricole, industriel et  Touristique.

Lieu/Ville : Koutiala créé au 16e Siècle par des bucherons est dans la 3ème Région administrative du Mali, elle est la 2ème Ville Industrielle du Mali, et est la 3ème ville la plus peuplée du Mali avec 150.000 habitants, situé à 400Km de Bamako, 100Km de l’Aéroport de Sikasso, 156Km de Ségou, 334Km de Mopti, 258Km de Bobo Dioulasso (B.F) communément appelé capitale de l’Or Blanc (à cause de la culture du coton).
Monument Coton-Culteurs




Justification du FESIKO :

- Inexistence d’activités festives pendant les saisons sèches à l’approche de l’hivernage, ou en fin de culture hivernale montre à suffisance que les jeunes ruraux de Koutiala s’éloignent de leur culture ancienne. 

- A côte de ses festivités également il existait une multitude de folklore à Koutiala, d’instruments traditionnels pour les réjouissances ;

-  La culture est relégué au second plan, cette culture qui jadis avait permis de créer des foyers, de faire la paix, de créer des emplois ;

- La culture du Miankala (Zone des Mianka ethnie dominante à Koutiala) est menacée d’acculturation, de mimétisme à travers les NTIC, les télés, le phénomène d’immigration /émigration;

- La relégation de la culture au second plan dans les stratégies de développement au niveau des collectivités ;

- La mobilisation des acteurs locaux et d’ailleurs pour intégrer la culture dans les actions de développement local ;

- Des danses et festivités comme (le n’gnogô, le Pori, le Cimproko, le Nampoun sont en voix de disparition).